27 NOV – 4 DÉC 2015
38e édition
Prendre le pouls du jeune cinéma, s’imprégner d’un nouvel élan, d’un nouveau souffle, révéler de nouveaux réalisateurs : voici ce qui nous pousse à dénicher les meilleurs films, chaque année, aux quatre coins du monde.
Le Poitiers Film Festival se situe précisément là où se construit l’avenir du cinéma, où se confrontent les écritures, où les jeunes cinéastes peuvent s’affranchir des règles et tout tenter.
Si la compétition invite de nombreux pays, nos voisins d’Outre-Rhin s’y distinguent à chaque édition par la qualité de leur création. Cette année, plus que jamais, la vague allemande a déferlé sur le festival à l’occasion du cycle Berlin au cinémaet du Focus : de jeunes réalisateurs de Berlin, Hambourg, Cologne, Postdam et Ludwigsburg ont été invités à Poitiers, accompagnés de grands noms du cinéma allemand et des films cultes de Wim Wenders, Fatih Akin, Andreas Dresen ou Christian Petzold…
Édito
Reflet d’un monde insaisissable, le cinéma bouge constamment ses lignes. C’est ce mouvement que, chaque année, la compétition du festival essaie de capter : les films sélectionnés sont le reflet d’un réel qu’ils transcendent avec talent.
La sélection 2015 n’y déroge pas et une fois encore, dans cette moisson de premiers films, de formes et d’origines si variées, de futurs cinéastes majeurs sont là. Comme ils sont également présents, accompagnés de cinéastes reconnus, dans le focus que nous consacrons cette année à l’Allemagne.
Au terme de cette édition, je quitterai la direction artistique du Poitiers Film Festival. Ce furent 12 années marquantes de rencontres avec des cinéastes, des films et des pays. Je veux dire un grand merci à tous ceux, gens de cinéma ou partenaires, qui, année après année ont soutenu ce beau projet d’ouverture aux cultures du monde. Je tiens à remercier l’équipe d’organisation et à rendre hommage à ses compétences et sa volonté passionnée de faire chaque année de cette proposition artistique, un grand festival. J’adresse aussi des remerciements au public qui depuis 2004 n’a cessé de grandir. La richesse et la variété de programmation est ce que nous devons au pubic. Mais sans son ouverture et sa curiosité, cela ne serait rien. Grâce à leur public, ces rencontres sont devenues un bien commun précieux.
Luc Engélibert, directeur artistique
Dans les médias
On a beau être habitué à la qualité des films sélectionnés, c’est un plaisir toujours renouvelé de découvrir le dynamisme et l’inventivité des tout jeunes réalisateurs contemporains.
Écran Noir